venerdì 26 giugno 2009
Damian Elwes ricostruisce gli atelier dei grandi,da Picasso a Matisse,da Gauguin a Frida...
Una galleria
Un video
Una ricca galleria delle sue opere
"...Peut-être que tu connais cet artiste....mais dans tout les cas son travail est surprenant ....un peu comme toi avec 100cosecosi , il fait des fouilles enormes pour redonner vie aux ateliers des plus grands : Picasso , Matisse, Gaugin ....tout les objets personnels des peintres y sont representés..."
Una segnalazione di Sonia che pubblico con entusiasmo, Damian è un eccellente colorista che ha studiato a lungo i maestri,si documenta minuziosamente sul loro lavoro,e sui loro atelier che poi rappresenta il piu fedelmente possibile allo spirito dell'artista che lo ha abitato,vissuto.Visitate il suo sito anche se non sono molte le opere presenti,tuttavia con una ricerca su Google non mancherete di scoprire innumerevoli immagini di una grazia coloristica seducente e un tratto vibrante di lirismo poetico.
Vi rammento che nell'atelier di un artista risiede spesso un mondo inesplorato dalle dimensioni sconosciute tant'è che in avvenire si cercherà di conservarli come delle vere e proprie installazioni e sempre piu spesso se ne faranno musei.
Qui in basso l'atelier di Gauguin.
In alto l'Atelier di Picasso.
Française
Né à Londres en 1960, fils et petit-fils de peintres anglais reconnus, Dominic et Simon, Damian Elwes est élevé dans un environnement artistique dès son plus jeune âge. Lorsqu’il est élève à la célèbre Harrow School, située sur la colline Harrow-on-the-Hill au nord-ouest de Londres, il est friand de littérature, aime la boxe et est naturellement doué pour les mathématiques. Mais à la mort de son père et de son grand-père en 1975, le jeune homme rejette cet univers qui l’entoure depuis l’enfance. Non, il ne sera pas peintre. Il range dans un garde meuble leurs pinceaux, chevalets et autres instruments de travail. Fait le vide car il ne veut pas d’un avenir déjà planifié. En 1979, il étudie la photographie et le théâtre à l’université de Harvard. Peine perdue. La peinture le rattrapera.
Concours de circonstances ? Héritage génétique ? Destinée ? Parti à New York sur le tournage d’un film, il découvre les graffitis. Les couleurs le submergent, l’éblouissent. Il s’introduit alors dans un immeuble abandonné. « J’étais trop timide pour peindre dans les rues », explique-t-il aujourd’hui. Damian couvre de graffitis les murs et le toit de cet immeuble. Le marchand d’art Robert Fraser découvre alors son œuvre, tombe immédiatement sous le charme et lui propose une exposition avec Jean-Michel Basquiat et Keith Harring. Le succès est immédiat. « J’ai eu beaucoup de chance. J’ai réussi à vivre de mes œuvres dès le début. »
Avec l’argent de ses toiles vendues, Damian part à Paris en 1985, un tournant majeur dans sa carrière. C’est là qu’il verra pour la première fois un tableau de Matisse. Un choc. Aujourd’hui encore, le peintre se souvient de cet instant. « Je suis resté plusieurs heures devant ce tableau, et les larmes coulaient sur mes joues. J’ai compris ce jour là que je devais devenir peintre. Que c’était ma vie. » Le jeune Elwes arpente dès lors les rues de Paris en tout sens, « frappe aux portes des ateliers », dès qu’il « sent une odeur de peinture ou de térébenthine ». Il apprend, enregistre, multiplie les rencontres incongrues. Les graffitis sont loin, il développe peu à peu son propre style. C’est là qu’il commencera à travailler sur son œuvre « Artists’ Studios ». La démarche est unique : peindre les ateliers de Matisse, Picasso, Dali, Gauguin, Cézanne et autres à leurs manière. Un labeur de longue haleine, une tâche quasi titanesque. « C’est presque comme dans un roman policier », plaisante-t-il. « Il faut chercher le moindre détail. » Ses toiles sont émouvantes. Prenantes. Apportent un sentiment de bien être tout en piquant notre curiosité.
Aujourd’hui, Damian Elwes est devenu un peintre reconnu, apprécié par ses contemporains. Anthony Hopkins, Mick Jagger, Al Pacino, Jim Carrey, Pierce Brosnan : en quelques années, il est devenu la coqueluche des stars qui s’arrachent ses toiles. Pourtant, l’homme a su rester simple. Il ne ressemble en rien aux peintres égocentriques, à la personnalité difficile, parfois torturée, dont il croque des moments de vie de leurs ateliers. Marié, deux enfants, il est très proche de sa famille et organisé dans son travail. « Je peins tous les jours de 9h à 17h pour pouvoir ensuite m’occuper de mes enfants ». Venu des Etats-Unis où il habite désormais pour son exposition à la Scream Gallery jusqu’au 14 juillet, l’artiste en profite pour faire un saut en France et en Espagne, sur les traces ses mentors. « Je vais maintenant travailler sur d’autres projets. Mais c’est avec eux que j’ai appris et c’est avec eux que j’ai encore énormément de choses à apprendre. »
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"Rifiutare di avere opinioni è un modo per non averle. Non è vero?" Luigi Pirandello (1867-1936)