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lunedì 22 novembre 2010

Litigio in video tra Sarkozy e il Presidente della Romania con intervento di Berlusconi "la classe" sul problema Rom



Aggiornamento ultima ora
ho chiesto a mia moglie che segue con fervida attenzione i notiziari radio su France Culture se è al corrente di cosa succede in questo momento tra Sarkozy e il Presidente della Romania in relazione al video (...) 
Ebbene pare e mi è confermato in parte da indiscrezioni e da articoli (...) che in un campo Rom francese a Lyon (Lione) la Gendarmerie chiamata per un intervento d'ordine pubblico (...disturbo della quiete pubblica) abbia fatto uso indiscriminatamente di gas (di quale natura lo ignoro)
Questi gas avrebbero senza evidenti motivi e con un utilizzo gratuito a scopo intimidatorio ucciso una cagnolina (...) afferma la versione delle forze dell'ordine !
Al contrario la versione degli occupanti del campo Rom afferma che sono state intossicate con immediato ricovero in ospedale delle persone tra cui un neonato di 5 giorni,un bambino di 2 anni e una giovane di 17 anni (!!!)
Il fatto ha suscitato grande impressione in Romania a tal punto che il presidente ha chiesto delucidazioni a Sarkozy ricevendo il trattamento che avete visto in video,"comprensibile" da parte di Silvio Berlusconi il gesto che voleva negare un momento di solidarietà manifestando irritazione (con la classe che lo distingue) alla sola idea di muovere una qualche forma di pressione o intercessione verso il presidente francese.
Qui sotto un articolo in francese dei fatti che si suppone abbiano causato la querelle.



Route de Vienne à Lyon, après le gazage par la police (Fabrice Caterini/Lyon Capitale).
Vendredi soir, en partant d'un squat, trois policiers ont utilisé leur bombe lacrymogène. « Contre un chien dangereux », disent-ils. « Dans notre direction », répondent les Roms. Bilan : un bébé de cinq jours et un autre de deux ans ainsi qu'une adolescente de 17 ans conduits à l'hôpital.
La scène s'est déroulée ce vendredi vers 19 heures. Dans un quartier excentré de Lyon, route de Vienne (VIIIe arrondissement), là où vivent une trentaine de Roms de Roumanie. Après s'être fait expulser du bidonville de la Part-Dieu (lire ici ), ils squattent depuis début novembre une douzaine de garages d'une arrière-cour.
Un équipage de la police nationale, composée de trois agents en uniforme, leur a rendu visite. L'échange a duré quelques minutes. Puis les trois policiers s'en sont allés. Qu'ont-ils fait à ce moment-là ? Les versions divergent diamétralement.

La police : « Une prise contact »

Sur les lieux quarante minutes après les faits, nous interrogeons le gradé, responsable de cette opération de police, lui-même arrivé plus tard. Il explique qu'il s'agissait d'« une prise de contact » pour signifier que les occupants devaient « pas tarder à partir ».
En quittant les Roms, les policiers « se sont retrouvés plus loin face à un chien, un malinois, qui a montré les crocs. Ils l'ont gazé ».
« C'était à l'extérieur et à trente mètres des garages » , précise le policier.
Il n'a donné aucune explication sur ce chien qui était déjà évaporé quand nous sommes arrivés sur place.

Un pompier : « Ces affaires-là sont trop sensibles »

Pour les habitants de ce squat, il n'y a jamais de chien. Certains excités, d'autres visiblement sous le choc, racontent et miment la même scène : deux policiers ont utilisé leur grande bombe lacrymogène à environ cinq mètres d'un groupe d'une quinzaine de personnes, qui étaient réunies au milieu des deux rangées de garages.
Les familles roms près des garages (Fabrice Caterini/Lyon Capitale).
Puis ces policiers sont partis en courant. Un militant associatif était à ce moment-là dans l'un de ces garages avec une famille.
« La fumée est entrée à l'intérieur des garages, si bien que tout le monde s'est rapidement retrouvé sur le trottoir, route de Vienne. Plusieurs personnes pleuraient, d'autres vomissaient. »
Ce militant a appelé les pompiers qui sont intervenus.
« Ils ont emmené aux urgences un bébé de cinq jours, un autre de 2 ans et une adolescente de 17 ans. »
Le père de l'enfant de 2 ans explique notamment que son fils a vomi et qu'il a dû partir à l'hôpital avec sa femme. Les pompiers reviennent vers 20h30 pour prendre en charge une vieille dame qui a fait un malaise. Mais elle ne veut pas aller à l'hôpital.
Questionnés, les pompiers refusent de répondre et nous renvoient vers la police.
« Ces affaires-là sont trop sensibles », lâchera l'un d'eux.
Le chef de l'équipage de police parle, quant à lui, de « cinéma » et de « trois personnes prises en charge à titre préventif ».

« Certains voisins se plaindraient du bruit »

Comme l'équipe de Médecins du monde, Gilberte Renard du collectif Rrom, est arrivée après le « gazage ». Elle parle d'une « attitude inadmissible » de la part de la police :
« Ça fait presque trois semaines que je viens ici pour aider les familles, je n'ai jamais vu de chiens et personne ne m'en a parlé. La police les a gazés pour leur mettre la pression parce que certains voisins se plaindraient du bruit. »
Quant à une éventuelle prochaine expulsion, elle n'est pas à l'ordre du jour, selon Gilberte Renard :
« Ils n'ont reçu aucune assignation devant le tribunal. »
Une heure après le départ de la police, alors que la vie du squat reprend progressivement son cours, la poignée de militants associatifs s'interrogeaient sur la possibilité de porter plainte.
Photos : route de Vienne à Lyon, après le gazage par la police ; près des garages (Fabrice Caterini/Lyon Capitale).

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