google6a3fa170c1192d09.html 100cosecosi 100cosecosi: Ton message....

domenica 22 giugno 2008

Ton message....

m'a secoué !!!...tu as soulevé beaucoup de choses justes ...que je ne pouvais exprimer jusqu'a présent.

Mais comme je te l'ai dit , dimanche dernier j'ai écrits quelques lignes sur la peinture telle que je la vie aujourd'hui.
Voici:

"Pour moi la peinture n'a rien de serein,
Rien de bon pour l'artiste
Qui doit pendant un temps s'extraire de lui, du monde ...pour pouvoir poser un geste sincère en force...sans ça sa création n'est qu'un produit corrompu"
"...Une pulsion sans négociation possible."
"Ecrire sur la peinture c'est une chose impossible...pour le moment!....Quand j'écrirai sur elle c'est que j'en aurai terminé.
Par contre écrire quand je suis en dispute avec la peinture m'aide à me réconcilier avec elle...donc je parlerai d'elle en ces moments là...pour aujourd'hui!"
"Elle est très exigeante jusqu'a l'épuisement qui me conduit à caser l'équilibre déséquilibre trouvé pour reconstruire ....assez moqueuse , défiante pour vous chuchoter que rien de définit n'est trouvé ou conquis!!!"
" une toile sur laquelle figure milles tableaux en dessous, dessus, en aplat....tel un ballet non synchronisé ...à première vue"
"En d'autres moments en un seul geste tout y est....quelle emmerdeuse de capricieuse!!"
"contrairement aux Marins qui cherchent à les voir, nous on se contente de capter les chants des sirènes"
"les arts conduisent l'homme s'il accepte de s'y perdre tantôt dans les abîmes, tantôt dans les fleuves, tantôt dans les marécages , quelques fois dans les champs de blé et de rare fois sur les cordes de la mort"
de ces quelques lignes j'espere avoir commencer à m'exprimer sur mon travail...!!!
On verra la suite.
Commento Credo che nelle lettere che si scambiano gli artisti troviamo il senso della vita, di una passione che innamora e travolge,per questo genere di sentimenti,di emozioni che scelsi tanto tempo fà la carriera artistica.

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"Rifiutare di avere opinioni è un modo per non averle. Non è vero?" Luigi Pirandello (1867-1936)