La piu bella lettera di Victor Hugo

« Je ne veux pas vous confier l'enseignement de la jeunesse, l'âme des enfants, le développement des intelligences neuves qui s'ouvrent à la vie, l'esprit des générations nouvelles, c'est-à-dire l'avenir de la France. JE NE VEUX PAS VOUS CONFIER L'AVENIR DE LA FRANCE, PARCE QUE VOUS LE CONFIER, CE SERAIT VOUS LE LIVRER » « C'est le parti clérical qui a trouvé pour la vérité ces deux étais merveilleux : L'IGNORANCE et L'ERREUR. C'est lui qui fait défense à la Science et au génie d'aller au-delà du Missel et qui veut cloîtrer la pensée dans le dogme ». « Découvrir la loi du ciel, c'était
une impiété ; trouver un monde c'était une hérésie » « Voilà longtemps déjà que vous essayez de mettre
un bâillon à l'esprit humain » « Et vous voulez être les maîtres de l'enseignement ! Et tout ce qui a
été écrit, trouvé, rêvé, déduit, illuminé, imaginé, inventé par les génies, le trésor de la civilisation, l'héritage
séculaire des générations, le patrimoine commun des intelligences, vous le rejetez ! Si le cerveau
de l'humanité était là devant vos yeux, à votre discrétion, ouvert comme la page d'un livre, VOUS Y
FERIEZ DES RATURES ! »
« Et vous réclamez la liberté d'enseigner. Tenez soyons sincères, entendons-nous sur la liberté que vous
réclamez; C'EST LA LIBERTE DE NE PAS ENSEIGNER »
« Ah ! vous voulez qu'on vous donne des peuples à instruire ! Fort bien. Voyons vos élèves, voyons vos
produits. Qu'est-ce que vous avez fait de l'Italie ? Qu'est-ce que vous avez fait de l'Espagne ?»